Pourquoi pas la race? L’âge? L’orientation sexuelle?

Pourquoi pas la race, l’âge ou l’orientation sexuelle?

Pourquoi des assemblées législatives équilibrées par les genres? Pourquoi ne pas avoir un équilibre entre les personnes de races différentes, l’âge ou l’orientation sexuelle?

Premièrement, c’est une question de gestion.

SOCIÉTALogiquement toutes les sociétés ont le même objectif: réduire les tensions les frictions et les conflits sociaux. Or, les différences de genre sont une source majeure de tensions, de frictions et de conflits sociaux dans toutes les sociétés.

Bien qu’aucune recherche n’a été faite sur le sujet, il est logique d’assumer que près de 50% des tensions, des frictions et des conflits sociaux présents dans une société affectent les femmes, car elles représentent environ 50%1 de la population. Avoir une parité hommes/femmes au sein de nos assemblées législatives est donc une bonne pratique puisque les assemblées législatives équilibrées par les genres permettent:

1 – aux meilleures femmes de dire aux meilleurs hommes quelles sont les meilleures pratiques qui empêcheront, résoudront ou géreront les tensions, les frictions et les conflits sociaux auxquels sont confrontées les femmes.

2 – aux meilleurs hommes disent aux meilleures femmes quelles sont les meilleures pratiques à prévenir, résolvent de gérer les diverses tensions sociales, les frictions et les conflits auxquels les hommes sont confrontés.

3 – aux meilleures femmes et aux meilleurs hommes de prendre une décision qui rendra les deux côtés heureux. Par conséquent, il doit y avoir un nombre égal d’hommes et de femmes, sinon il y aura une possibilité que la décision soit discriminatoire dû au fait qu’un groupe est surreprésenté par rapport à l’autre.

Le tout permet d’identifier des meilleures solutions et optimiser l’utilisation des ressources sociétales. Lorsque la parité est absente, le spectre de la discrimination appairait et les décisions  prisent ne sont pas optimales. Lorsque nous regardons l’état des tensions, des frictions et des conflits que subissent les femmes, nous ne pouvons que conclure que la non-parité a été un échec en ce qui a trait à l’utilisation optimale des ressources.   

Deuxièmement, c’est une question de gestion

Le genre est un facteur différentiel global stable. Partout où nous regardons dans notre village mondial, la population à quelques décimales près est toujours également répartie entre les hommes et les femmes, et elle est stable au fil du temps. Par conséquent, adapter nos lois pour que nos assemblées législatives soient équilibrées au niveau des genres est une action que nous allons faire qu’une seule fois. Nous n’aurons plus à la changer.

La race, l’âge et l’orientation sexuelle ne sont pas des facteurs de différenciation globaux partout dans le monde et ne sont pas stables au fil du temps. Par conséquent, nous ne pouvons pas créer une meilleure pratique globale.

Chaque société doit donc trouver un moyen de déterminer comment elles veulent réduire les tensions, les frictions et les conflits sociaux qui découlent de la race, de l’âge et de l’orientation sexuelle, et l’Institut de sociétalogie peut aider les sociétés à trouver des moyens novateurs pour les résoudre.

Troisièmement c’est une question d’espèce.

L’homo sapiens est une espèce sexuée. Le fait d’être une femme ou un homme est une différence innée. Chacun des genres amène  leurs lots de tensions, de frictions et de conflits  qui sont différents l’un de l’autre et qui influent sur la capacité d’une société de régler ses conflits.

Sans les femmes Sans les hommes
– il n’y a pas d’hommes
– il n’y a pas d’enfants
– il n’y a pas d’âge
– il n’y a pas races
– il n’y a pas hétérosexuels
– il n’y a pas LGBTA
– il n’y a pas de citoyens
– il n’y a pas de sociétés
– il n’y a pas d’homo sapiens
– il n’y a pas de femmes
– il n’y a pas d’enfants
– il n’y a pas d’âge
– il n’y a pas races
– il n’y a pas hétérosexuels
– il n’y a pas LGBTA
– il n’y a pas de citoyens
– il n’y a pas de sociétés
– il n’y a pas d’homo sapiens

1 – Certains diront que c’est plus de 50% lorsque vous incluez les tensions, les frictions et les conflits sociaux associés à l’éducation des enfants, ce qui est généralement une tâche accomplie par les femmes.